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Les pentes sous-marines invitent à la noyade. Sous prétexte de soleil et de vacances proches, l'on vient ici se laisser submerger par l'ennui, et rêver d'ailleurs. Ou bien l'on se dissout dans la rumeur éteinte, dans les rires portés par le vent, dans la chaleur qui stagne au ras du quai, comme sur une plage de sable, en oubliant l'eau et la ville, et la noyade qui ne nous fait plus peur. |